Activez vos capacités et
gérez vos émotions et vos pensées.
Alors qu’il existe des solutions pour gérer son stress, saviez-vous que* :
- 34% des français ne font rien pour gérer leur stress,
- 15% prennent des médicaments contre le stress,
- 38% des personnes font quelque chose (autre que le sport) pour gérer leurs émotions.
Si vous êtes sur cette page, c’est que vous voulez faire partie de ces 38% ou si c’est déjà le cas, que vous souhaitez aller plus loin.
La technique que vous allez apprendre est facile et applicable depuis chez vous ou de quelque endroit où vous vous trouvez.
NB : peut-être que ce vous allez lire dans un instant, vous l’avez déjà entendu, vous le savez déjà. Oui, parfois on sait, on a lu, on a entendu maintes et maintes fois le même discours. Mais le lire une fois de plus est la fois de plus nécessaire pour intégrer l’information.
Les recherches de l’institut HeartMath gérez vos émotions et vos pensées
Cet Institut spécialisé dans la recherche et l’éducation, basé en Californie, travaille à une meilleure compréhension du lien qu’il y a entre le cerveau et le cœur.
Au cours de ses recherches, HeartMath a donc constaté l’existence autour du cœur de l’être humain d’un champ électro magnétique mesurant 2 à 3 mètres de diamètre.
Les recherches ont ensuite démontré que ce champ d’énergie est porteur d’informations relatives à l’état émotionnel de l’être humain. Ainsi, une personne en colère verra son champ d’énergie empreint de colère, une personne anxieuse aura son champ électromagnétique rempli d’anxiété, une personne respirant la joie de vivre aura son champ électromagnétique rempli lui aussi de joie de vivre, etc.
Énergétiquement, nous nous influençons les uns les autres gérez vos émotions et vos pensées
Au vu du diamètre du champ électromagnétique du cœur humain, il est alors évident que nous nous influençons les uns les autres. Ainsi, deux personnes proches physiquement (jusqu’à plus de 5 mètres) l’une de l’autre, partagent en quelque sorte leurs émotions.
Nos champs d’énergie respectifs chevauchent les champs d’énergie de nos voisins.
Pour exemple, n’avez-vous jamais ressenti le mal-être d’un proche lorsque vous étiez à ses côtés ?
Par ses mesures, HeartMath a prouvé que notre état personnel, notre cohérence (ou incohérence) individuelle influence la cohérence (ou l’incohérence) sociale. D’autres relevés ont également démontré qu’un ensemble de personnes dans une énergie similaire influencent la terre.
Cela implique donc que vous mettre, vous déjà, de manière individuelle, en cohérence cardiaque (le cœur est le point de départ) va agir sur vous mais pas seulement. Cette mise en cohérence aura un impact sur les personnes qui vous entourent : votre femme, votre mari, vos enfants, vos collègues de travail et, ne les oublions pas, vos animaux de compagnie.
Comment se mettre en cohérence ? gérez vos émotions et vos pensées
Comme énoncé précédemment, tout part du cœur. Il s’agit donc de se mettre en cohérence cardiaque.
Il est maintenant scientifiquement prouvé que notre cœur transmet dans un dialogue continuel des informations à notre cerveau. Celui-ci va ensuite transmettre à l’ensemble du corps le signal correspondant à l’information reçue du cœur.
Selon les émotions que vous ressentez, votre cœur qui réagit d’une certaine manière, transmet une information au cerveau qui créera une réaction en chaîne dans votre corps engendrant des pensées et des images en adéquation avec l’émotion de départ.
Nous sommes des êtres qui sentent et réfléchissent et non l’inverse. D’où l’importance de gérer ses émotions pour que la réflexion prenne le meilleur chemin.
D’après vous, n’est-il pas plus favorable de choisir les bonnes émotions ?
Oui, choisir ses émotions, c’est possible ! Je n’ai pas dit que c’était toujours simple mais c’est faisable.
Certains diront le contraire parce qu’ils en sont persuadés et parce qu’ils n’ont pas appris de technique pour agir efficacement sur ce qu’ils ressentent.
Ainsi, à quelqu’un qui dirait « Je ressens de la colère, elle est normale et légitime », je répondrais, « Oui, il est humain de ressentir de la colère dans certaines circonstances.». Et le but de cet article n’est pas de dire le contraire. Mais nourrir de la colère, est-ce une attitude profitable sur le court, moyen ou long terme ? Non, pour votre santé (physique, mentale, émotionnelle, spirituelle), je vous l’assure ça ne l’est pas.
Le problème d’une telle émotion n’est pas qu’elle existe. Le problème est qu’elle ne soit pas maîtrisée et de ce fait c’est elle qui prend le contrôle sur vous.
A ceux qui ne savaient pas jusqu’à maintenant qu’il était possible d’agir sur ce que l’on ressent, sachez que vous êtes réellement en capacité de le faire. Pour cela, il faut que vous sachiez comment, pourquoi. Mais un élément essentiel doit être ajouté à cela : que vous décidiez d’agir par et pour vous-même.
Allons plus loin dans ce voyage passionnant et parlons un peu d’étymologie
Du latin « stringere » : rendre raide , presser, serrer, comprimer, resserrer. En anglais le terme est assimilé à « distress » qui veut dire « détresse » « étroitesse ».
Tous ces termes résument très bien ce qui se passe quand une personne est stressée, se sent contrainte, en colère : elle a une vision intérieure et extérieure étriquée. Sa vision rétrécit. Elle n’est plus en mesure de voir l’événement (subit) dans son ensemble et ne peut pas avoir de vision sur du long terme. Elle est bloquée et reste figée dans la situation de stress.
Le stress, et ce d’autant plus s’il est très élevé, place l’être humain instantanément en mode survie. Dans ce mode, une personne peut-elle, par exemple, envisager la programmation de ses prochaines vacances ? Peut-elle rire et profiter de la vie ?
Être en mode survie c’est être dans le même état que si vous étiez poursuivi par un animal sauvage. Planifiez-vous vos vacances avec une hyène à vos trousses ?
En mode survie, le cerveau allume son voyant rouge, sonne l’alarme à tout va et la SEULE chose qu’il reste à faire, l’objectif à atteindre est de sauver sa peau.
Mode survie : alerte rouge
Revenons d’ailleurs sur cette expression qui consiste à « sauver sa peau ». La peau est l’enveloppe du corps. Par conséquent, lorsque la vision de la personne qui se sent en danger se rétrécit, cela veut dire que la vision s’arrête à l’objet qu’il faut sauver : son corps, sa peau et ça s’arrête là.
Il n’y a plus la possibilité d’une ouverture, d’une prise de hauteur par rapport à la situation.
Un autre point important à noter est que la peur, liée à l’instinct de survie provoque des réactions en chaîne au niveau chimique, ces réactions qui elles-mêmes viennent nourrir de nouveau cette peur : un cercle vicieux est en place. A moins de décider du contraire. Décision veut dire « trancher, rompre, ôter ».
Donc la personne, en proie à la peur et prisonnière du cercle vicieux qu’elle crée automatiquement lorsqu’elle vit une situation similaire, va, en décidant de rompre son fonctionnement habituel, stopper le mouvement du cercle vicieux.
En brisant le maillage de sa façon de penser et d’agir, elle instaure un nouveau système : la gestion puis la maîtrise (au fil du temps) de ses émotions.
Ainsi, lorsque des moments d’inconfort surviennent, il lui est possible d’avoir une vision plus large de la situation et une plus grande sérénité.
Mais notez bien que la gestion de ses émotions d’une façon automatique ne peut se fera qu’après un temps d’entraînement, si je puis dire.
J’ouvre ici une parenthèse : je ne suis pas en train de dire qu’une réelle situation de danger ne doit pas être prise au sérieux. En effet, la peur n’est pas toujours négative. Elle est aussi un signal qui permet de se préserver lorsqu’il y a un réel danger.
Consultez les articles du blog